Les 3 Principaux Risques Financiers pour les Entreprises [Astuce Business #3] | Impactified

La gestion des risques financiers pour les entreprises est cruciale, mais elle est aussi vitale pour tout entrepreneur qui souhaite non seulement survivre mais aussi prospérer dans le monde des affaires compétitif d'aujourd'hui. Comprendre et anticiper ces risques peut transformer une situation potentiellement périlleuse en une opportunité de croissance et de stabilisation pour l'avenir de l'entreprise.

Les 3 Principaux Risques Financiers pour les Entreprises [Astuce Business #3]

Le MBA Accéléré, par Impactified

La finance est souvent le nerf de la guerre pour une entreprise, mais les pièges sont nombreux. Comment les éviter ? Si le sujet des risques financiers vous intéresse, ca tombe bien, on a justement quelques astuces a partager !

[Antoine Martin, Coach d’affaires et Facilitateur de Scale] Nouvelle vidĂ©o pour parler cette fois-ci des risques financiers dans les entreprises, auxquels sont confrontĂ©s les entrepreneurs. Quels sont d’une part les risques dont on parle et puis bien entendu, quelles sont les astuces qu’on peut leverager, utiliser pour trouver des solutions tout simplement.

Quels sont les principaux risques financiers pour les entreprises ?

Pour commencer, les risques. Quels sont les risques financiers dans les entreprises ? Comment on les identifie ? Ă€ quoi ils ressemblent ? Qu’est-ce que c’est le deal lĂ -dedans ?

[Philippe Bonnet, Valorisateur d’Entreprises, Impactified] On peut considĂ©rer qu’il y a trois types de risques. Il y a les risques qui concernent la gestion de la trĂ©sorerie au sens large. Il y a les risques qui sont liĂ©s Ă  la capacitĂ© d’investissement, et il y a aussi les risques qui sont liĂ©s Ă  la capacitĂ© d’anticiper et de dĂ©cider .

[Antoine Martin] Donc il y a du financier pur. Et il y a du décisionnel lié à la finance.

[Philippe Bonnet] C’est ça. Donc si on se lance sur les risques de gestion de trĂ©sorerie, il faut faire une grosse diffĂ©rence entre ce qu’on va appeler la trĂ©sorerie et ce qui concerne le compte bancaire. La trĂ©sorerie n’est pas le compte bancaire. Que tous ceux qui pensent qu’ils ont une vision claire de leur trĂ©sorerie parce que cette semaine ou ce mois-ci, ils savent exactement combien ils vont avoir sur le compte en banque, en fait, ils ont tout faux.

Le compte en banque c’est ce qu’il y Ă  disposition dans l’institution financière qui nous donne de l’argent Ă  dispo. La trĂ©sorerie c’est la capacitĂ© Ă  savoir peut-ĂŞtre de manière peu moins prĂ©cise mais beaucoup plus fiable, de combien on devrait disposer Ă  l’horizon de 1 mois, 2 mois, 3 mois, 4 mois, 6 mois, chaque mois pendant 12, 18 ou 24 mois. Je rĂ©pète, chaque mois, mois par mois. Encore une fois, bien sĂ»r, ce sera imprĂ©cis. Plus on s’Ă©loigne dans le temps, plus ça va ĂŞtre imprĂ©cis. La prĂ©dictibilitĂ© de cette imprĂ©cision est prĂ©fĂ©rable Ă  une inconnue totale qui est celle de se dire « je sais ce que j’ai sur mon compte et puis c’est tout ».

[Antoine Martin] Tu veux dire, option 1, on est complètement Ă  l’aveugle et on ne sait pas, option 2, on tire des plans sur la. Comète, on fait un document, on a. Une idĂ©e, c’est probablement faux, ça ne se passera probablement jamais comme ça, mais. Au moins on a une idĂ©e.

[Philippe Bonnet] Exactement. Donc ça c’est le premier point, le deuxième point c’est les flux de trĂ©sor et le cash qu’on brĂ»le. Si on sait que dans 6 mois ou 8 mois, parce qu’on vient de perdre Un client clĂ© ou trois clients clĂ©s qui nous font moins 20% et qu’il va falloir continuer Ă  payer l’approvisionnement sur telle matière quantitĂ© d’Ă©quipe, on va pouvoir anticiper ça et aller discuter.

[Antoine Martin] Est-ce que tu peux donner des exemples de ça ? Quand on parle de risques financiers dans les entreprises c’est un vrai sujet qu’on a vu Ă  pas mal de reprises avec diffĂ©rents types de configurations. On a des gens qui ne vont pas anticiper le fait que dans un contrat ils vont devoir faire des avances de trĂ©sorerie. On a des gens qui ne vont pas anticiper le fait qu’effectivement un client va ĂŞtre particulièrement trop important et donc quand il y aura un problème il n’y aura plus de rĂ©serve d’oxygène. Tu as des exemples ?

[Philippe Bonnet] Donc il y a le premier c’est effectivement je perds un gros client, je n’ai pas conscience que mon gros client il reprĂ©sente 40% de mon chiffre et quand il va S’arrĂŞter, c’est l’ensemble de la dynamique de l’entreprise qui va s’arrĂŞter parce que je n’ai plus de quoi payer les Ă©quipes. Mais ça peut ĂŞtre aussi, dans l’autre sens, dans une activitĂ© de construction par exemple, l’entreprise faisait 11-12 millions chaque annĂ©e. Ici, il y a un client qui fait 40 millions et il ne s’est pas rendu compte que l’appel d’air qui allait ĂŞtre gĂ©nĂ©rĂ© par l’achat du matĂ©riel pour rĂ©aliser ce chantier Ă  40 millions Ă©tait au-dessus du chiffre d’affaires qu’il avait sur la totalitĂ© de l’annĂ©e. Donc en fait, il n’avait pas l’argent sur les comptes qui lui permettait de pouvoir lancer la machine. Si on rajoute Ă  ça les dĂ©lais de paiement du client, la fiabilitĂ© de ces dĂ©lais de paiement, etc. En fait, ça a mis l’entreprise en très grave difficultĂ©, c’est sĂ»r.

MĂŞme si on gĂ©nère des profits sur le papier Ă  l’horizon de six mois ou huit mois, le banquier, Ă  un moment, il va dire non, j’arrĂŞte de vous financer et je n’accepte pas que vous soyez plus que X Ă  dĂ©couvert. Donc lĂ , il y a un vrai risque.

Il y a un dernier risque comme ça qui sont les risques sur, par exemple, le change. dans la mesure oĂą on achète sur une monnaie et qu’on vend dans une autre monnaie, en US pour l’achat et en euro pour la vente. L’annĂ©e dernière on a vu beaucoup de PME qui se retrouvaient Ă  faire des rĂ©sultats nĂ©gatifs parce que la paritĂ© US-euro avait dĂ©rapĂ© et n’avait pas Ă©tĂ© anticipĂ©e.

[Antoine Martin] Un exemple… on a vu il y a quelques temps, c’Ă©tait un entrepreneur qui vendait des costumes Ă  la grande distribution. Ses clients Ă©taient aux États-Unis, sa production Ă©tait en Chine. Les commandes Ă©taient faites en janvier, mais les paiements n’Ă©taient faits qu’Ă  livraison. Ă€ savoir en novembre. Donc entre le moment oĂą Janvier il recevait ses commandes, lui devait payer ses fournisseurs en fĂ©vrier-mars, tout Ă©tait produit en avril-mai, lui recevait tout Ă  la fin de l’Ă©tĂ©, devait tout expĂ©dier, toujours assez frais, fin d’Ă©tĂ©, dĂ©but de l’automne, et il Ă©tait payĂ© Ă  rĂ©ception en septembre. Ça veut dire qu’au moment oĂą il avait reçu son argent en fin d’annĂ©e, le taux du dollar US n’Ă©tant pas celui qui Ă©tait prĂ©vu en dĂ©but d’annĂ©e, sa marge pouvait soit ĂŞtre un peu mieux s’il avait un coup de bol, soit totalement Ă©radiquĂ© si les taux de change avaient fait que le dollar s’Ă©tait cassĂ© la figure.

[Philippe Bonnet] Oui encore une. Fois il est possible par exemple de dire moi je vois bien comment ça devrait Ă©voluer donc du coup j’achète du dollar maintenant mais si on fait ça l’entrepreneur ne fait pas son mĂ©tier. Son mĂ©tier ce n’est pas de faire un pari sur l’Ă©volution du cours de l’euro USD ou du yuan RMB contre l’USD.

Le mĂ©tier de l’entrepreneur c’est d’avoir un business model et de faire tourner ses fonds propres pour pouvoir gĂ©nĂ©rer une fois la marge, deux fois la marge, trois fois la marge. Il y a des solutions avec des agences dont c’est la spĂ©cialitĂ© de faire bloquer un montant qui va servir d’un compte et de pouvoir bloquer Ă  un prix de paritĂ© ce qu’on souhaite et de payer une sorte d’assurance sur ce montant-lĂ .

[Antoine Martin] Donc il y a des mécanismes pour mitiger les risques financiers dans les entreprises qui sont lies au change ?

[Philippe Bonnet] Oui, tout Ă  fait. On peut enchaĂ®ner sur une autre typologie de risque, ceux liĂ©s Ă  la capacitĂ© d’investissement. Ce deuxième point concernant la stratĂ©gie financière, c’est essentiellement la rĂ©flexion sur l’existence d’un business model qui est calĂ© avec un business plan qui lui-mĂŞme est calĂ© de façon Ă  mettre en place le projet. Ça veut dire qu’il va y avoir de la planification financière qui au soit en phase.

[Antoine Martin] On aura fait tel chiffre d’affaires avec des anticipations de rĂ©sultats qui vont ressembler Ă . Ça et Ă  ça. Mais ça peut aussi ĂŞtre un suivi de trĂ©so dont on parlait tout Ă  l’heure qui vise Ă  dire, au-delĂ  des attentes en termes de chiffre d’affaires et de rĂ©sultats, concrètement, dans 6 mois, il faut payer les assurances, il faut payer l’URSSAF, il faut payer un certain nombre de choses qui font qu’au mois de dĂ©cembre, on a un creux de trĂ©sor et si on n’a pas anticipĂ© avec une ligne de crĂ©dit. On est Ă  poil.

[Philippe Bonnet] Alors ça offre un lien avec le troisième risque financier dans les entreprises qui est sur la capacitĂ© d’anticiper et de dĂ©cider parce que voilĂ  autant on parle du business plan et de cette stratĂ©gie financière mais le manque d’anticipation c’est un risque Ă  part entière. Si on reprend le premier sujet qui Ă©tait le fait de rĂ©aliser qu’on allait avoir un appel d’air et qu’on a besoin d’une trĂ©sorerie mensuelle minimum de, et qu’on ne se rend pas compte au moment oĂą ça arrive qu’en plus de tout, oui, il faut dĂ©poser le renouvellement des trademarks ou des copyrights, oui, il faut prĂ©voir les impĂ´ts Ă  payer, oui, il faut, etc.

Pourquoi est til important d’anticiper les risques financiers pour les entreprises ?

Ce manque d’anticipation peut crĂ©er un risque fatal alors que si on a anticipĂ©, on peut très bien aller voir 4 mois, 5 mois, 6 mois en avance la banque nĂ©gocier des lignes de crĂ©dit, on peut aller faire un emprunt, on peut se retourner vers des investisseurs voire Ă  nouveau des banques pour pouvoir investir finalement sur ce qu’on a dĂ©cidĂ© de faire, quelles que soient les difficultĂ©s momentanĂ©es auxquelles on doit faire face.

Plus c’est risquĂ©, plus les taux vont ĂŞtre importants, mais c’est quand mĂŞme mieux de pouvoir l’anticiper et de se mettre en position d’attaquer ce moment difficile que de se dire, on verra comment ça va passer, parce que lĂ , pour le coup, Ă  3 sur 4, ça ne passe pas du tout. Et donc lĂ , c’est l’entreprise qui, dans sa totalitĂ©, est Ă  risque.

Il y a un autre point qui n’est pas de l’anticipation, qui est un sujet de dĂ©cision dans le sens oĂą c’est cette visibilitĂ© sur le cours moyen terme qui va nous permettre de dire « oui je vais agir pour pouvoir prendre ce moment-lĂ  de la façon dont il doit ĂŞtre pris ». L’absence de dĂ©cision est un risque Ă  part entière. Parce qu’on ne va pas faire, parce qu’on ne va pas aller nĂ©gocier avec la banque, et du coup, oui, on peut avoir anticipĂ©, mais si on n’a pas dĂ©cidĂ©, ça crĂ©e Ă  la fin un effet qui est quasi similaire.

[Antoine Martin] Oui, parce qu’au final, si on dĂ©cide de ne pas dĂ©cider, on peut se retrouver avec un problème qui va traĂ®ner, traĂ®ner, traĂ®ner, donc on va se retrouver avec un problème qui va ĂŞtre simplement aggravĂ© sans solution.

Pourquoi décider est important ?

[Philippe Bonnet] Oui c’est absolument le cas et en gĂ©nĂ©ral les gens n’arrivent pas Ă  s’en vautre d’ailleurs. C’est rare que les gens aient anticipĂ© et dĂ©cident de ne pas dĂ©cider.

[Antoine Martin] Quel est le test qu’on peut faire pour voir si d’un point de vue des risques financiers dans les entreprises, on est dans une zone de risque ou plutĂ´t dans une zone de risque gĂ©rĂ© et acceptable ?

[Philippe Bonnet] La question est assez simple, c’est oĂą en est votre sociĂ©tĂ© dans 24 mois et quel est le document sur lequel on peut discuter qui met en perspective l’Ă©tat de votre trĂ©sorerie dans deux ans avec les Ă©volutions mensuelles depuis ?

[Antoine Martin] Donc les Ă©volutions en termes d’Ă©volution de chiffre d’affaires, les Ă©volutions en termes d’Ă©volution de notre taille d’Ă©quipe, en termes de Ă  quel moment est-ce qu’il faut avoir payĂ© les taxes, Ă  quel moment est-ce qu’on a eu les dividendes Ă  payer ou pas, etc.

[Philippe Bonnet] Il y a le timing des commandes vis-Ă -vis des fournisseurs, ou des paiements des fournisseurs, etc. Oui, effectivement. Mais le rĂ©sultat de cette situation dans 24 mois est la consĂ©quence des 23 mois qui prĂ©cèdent. Donc en fait, si on se dit oĂą est-ce que vous en ĂŞtes dans 24 mois, c’est intĂ©ressant de voir quelle est l’image qu’on est capable de fournir sur ça.

Les risques financiers pour les entreprises en phase de démarrage

[Antoine Martin] Pour etre tangibles en matiere de risques financiers dans les entreprises… Quels sont les enjeux finalement pour des entrepreneurs qui vont ĂŞtre en phase de dĂ©marrage, disons jusqu’Ă  une dizaine de personnes et quels vont ĂŞtre les enjeux pour des entrepreneurs qui vont ĂŞtre au-delĂ  des dix personnes et qui eux vont passer dans une phase de scale finalement ?

[Philippe Bonnet] Donc sur la première catĂ©gorie, les deux points directs sur la trĂ©sorerie, c’est de connaĂ®tre son break-even, c’est-Ă -dire mois par mois, en fonction des enjeux de dĂ©penses que j’ai, de quel chiffre d’affaires j’ai besoin pour couvrir mes frais ? Toucher ce point qu’on appelle le break-even, c’est le vrai enjeu au dĂ©part.

D’un point de vue investissement, on peut rajouter un facteur, c’est le facteur qui va permettre de dire non seulement je touche le breakeven mais en plus de ça, tout ce que j’ai dĂ©pensĂ© jusque lĂ  est revenu sur mon compte en banque et donc j’ai atteint mon niveau de retour sur investissement, le fameux ROI.

Donc, le troisième sur l’anticipation et la dĂ©cision, ça va ĂŞtre de se poser la question si on a besoin de fonds et si oui de combien pour pouvoir mener la stratĂ©gie qu’on a dĂ©cidĂ© de mener Ă  24 ou 36 mois.

Les risques financiers pour les entreprises en phase de scale

Si on prend une taille d’entreprise supĂ©rieure, les enjeux sur la trĂ©sorerie, ça va plutĂ´t ĂŞtre de maĂ®triser les risques et le budget. Donc oui, en dĂ©but d’annĂ©e, on a Ă©laborĂ© un budget de combien on devrait faire globalement de recettes et combien de dĂ©penses on va avoir. Comment est-ce que ça se dĂ©cline ? Et d’avoir ces arbitrages dans un document qui est maĂ®trisĂ©, c’est un vrai point.

Sur l’investissement, c’est d’avoir une visibilitĂ© sur l’arbitrage de sa croissance. savoir si on veut tout financer en propre, si on veut passer par l’extĂ©rieur, si on va passer par un extĂ©rieur financier ou un extĂ©rieur Ă©conomique. Est-ce qu’on va faire une franchise ? C’est un enjeu effectivement sur l’investissement dans ce modèle-lĂ .

Le dernier, ça va ĂŞtre sa capacitĂ© Ă  se rendre soi-mĂŞme, en tant qu’entrepreneur, remplaçable dans l’entreprise parce que si je suis remplaçable dans mon entreprise, ça veut dire que mon entreprise a la pleine valeur de ce qu’elle peut avoir dans l’industrie dans laquelle elle est et Ă  l’Ă©tat de rĂ©sultat oĂą elle est aujourd’hui. Donc, on va retomber sur cette facultĂ© de l’entrepreneur Ă  tenir une place oĂą il est lui-mĂŞme remplaçable.

[Antoine Martin] Alors qu’Ă  contrario, on va partir du principe qu’une entreprise de 15, 20, 35, 50, 70 personnes dans laquelle l’entrepreneur n’est pas remplaçable, c’est une entreprise qui sera difficile Ă  revendre et que le jour oĂą l’entrepreneur n’est soit plus en mesure de prendre des dĂ©cisions, soit veut partir Ă  la retraite et passer Ă  autre chose, il ne sera pas en mesure de pouvoir transmettre cette entreprise Ă  quelqu’un d’autre et donc d’en assurer la continuitĂ©.

[Philippe Bonnet] Absolument, ou générer du retard, ou générer de la moins-value, ou générer une inconnue. Les termes de la négociation vont être plus durs, au point que des fois ça peut remettre en cause carrément la capacité à signer les deals.

Conclusions sur les principaux risques financiers pour les entreprises

[Antoine Martin] Comment on conclut sur le sujet de la maîtrise des risques financiers pour les entreprises ?

[Philippe Bonnet] On peut conclure sur le cĂ´tĂ© « nerf de la guerre » que ça reprĂ©sente. Oui, on a besoin d’argent, mais oui, ça se met en perspective et ça se prĂ©voit. L’inconvĂ©nient, c’est que c’est pas simple. L’avantage, c’est que ça peut se mettre en musique et que cette mise en musique est quelque chose qui est tout Ă  fait envisageable et faisable. On peut le faire seul, on peut le faire avec des comptables, on peut le faire avec des tas de gens, y compris des gens qui sont des facilitateurs, mais c’est quelque chose qui est l’un des outils centraux du pilotage de l’entreprise, qu’on veuille gagner beaucoup d’argent, qu’on veuille vendre son entreprise, qu’on veuille la cĂ©der Ă  la gĂ©nĂ©ration suivante, c’est un point de passage obligĂ©.

[Antoine Martin] Et donc si on veut des astuces davantage et si on veut un coup de pouce pour arriver à réfléchir à ça, on prend rendez-vous et on prend contact avec les facilitateurs de Scale Impactified et puis on continue la discussion ?

[Philippe Bonnet] Bien sûr, avec nos partenaires ou avec nous-mêmes, la solution existe toujours, évidemment.

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