Les 3 Principaux Risques Financiers pour les Entreprises [Astuce Business #3]

La finance est souvent le nerf de la guerre pour une entreprise, mais les pièges sont nombreux. Comment les éviter ? Si le sujet des risques financiers vous intéresse, ca tombe bien, on a justement quelques astuces a partager !

Comprendre et Gérer les Principaux Risques Financiers pour les Entreprises
Les 3 Principaux Risques Financiers pour les Entreprises [Astuce Business #3] | Impactified

La gestion des risques financiers pour les entreprises est cruciale, mais elle est aussi vitale pour tout entrepreneur qui souhaite non seulement survivre mais aussi prospérer dans le monde des affaires compétitif d'aujourd'hui. Comprendre et anticiper ces risques peut transformer une situation potentiellement périlleuse en une opportunité de croissance et de stabilisation pour l'avenir de l'entreprise.

Dans cette vidéo, Antoine Martin et Philippe Bonnet parlent des risques financiers auxquels sont confrontés les entrepreneurs. Il identifie trois types de risques : la gestion de trésorerie, les flux de trésorerie et les risques liés aux clients, aux investissements et aux taux de change. Il explique l’importance de connaître sa trésorerie et de prévoir les dépenses à venir. Il souligne également l’importance de l’anticipation et de la prise de décision pour gérer les risques financiers. Enfin, il aborde les enjeux pour les entrepreneurs en phase de démarrage et en phase de scale, ainsi que l’importance de maîtriser les risques financiers pour assurer la continuité de l’entreprise.

Les points importants :

  • Il est essentiel de connaître sa trésorerie et de prévoir les dépenses à venir pour gérer les risques financiers.
  • L’anticipation et la prise de décision sont cruciales pour faire face aux risques financiers.
  • Les entrepreneurs en phase de démarrage doivent se concentrer sur le break-even et le retour sur investissement.
  • Les entrepreneurs en phase de scale doivent maîtriser les risques et le budget, ainsi que prévoir l’arbitrage de leur croissance.

Timecode :

00:30 Comprendre les principaux risques financiers pour les entreprises
01:28 Les risques liés a la gestion de trésorerie
04:01 Les risques liés a la capacité d’investissement
04:52 Les risques liés aux taux de change
08:10 Capacité d’anticipation et capacité de décision
09:21 Les enjeux pour les entrepreneurs en phase de démarrage
10:47 Les enjeux pour les entrepreneurs en phase de scale
11:45 La maîtrise des risques financiers
15:19 Conclusion

[Antoine Martin, Coach d’affaires et Facilitateur de Scale] Nouvelle vidéo pour parler cette fois-ci des risques financiers dans les entreprises, auxquels sont confrontés les entrepreneurs. Quels sont d’une part les risques dont on parle et puis bien entendu, quelles sont les astuces qu’on peut leverager, utiliser pour trouver des solutions tout simplement.

Quels sont les principaux risques financiers pour les entreprises ?

Pour commencer, les risques. Quels sont les risques financiers dans les entreprises ? Comment on les identifie ? À quoi ils ressemblent ? Qu’est-ce que c’est le deal là-dedans ?

[Philippe Bonnet, Valorisateur d’Entreprises, Impactified] On peut considérer qu’il y a trois types de risques. Il y a les risques qui concernent la gestion de la trésorerie au sens large. Il y a les risques qui sont liés à la capacité d’investissement, et il y a aussi les risques qui sont liés à la capacité d’anticiper et de décider .

[Antoine Martin] Donc il y a du financier pur. Et il y a du décisionnel lié à la finance.

[Philippe Bonnet] C’est ça. Donc si on se lance sur les risques de gestion de trésorerie, il faut faire une grosse différence entre ce qu’on va appeler la trésorerie et ce qui concerne le compte bancaire. La trésorerie n’est pas le compte bancaire. Que tous ceux qui pensent qu’ils ont une vision claire de leur trésorerie parce que cette semaine ou ce mois-ci, ils savent exactement combien ils vont avoir sur le compte en banque, en fait, ils ont tout faux.

Le compte en banque c’est ce qu’il y à disposition dans l’institution financière qui nous donne de l’argent à dispo. La trésorerie c’est la capacité à savoir peut-être de manière peu moins précise mais beaucoup plus fiable, de combien on devrait disposer à l’horizon de 1 mois, 2 mois, 3 mois, 4 mois, 6 mois, chaque mois pendant 12, 18 ou 24 mois. Je répète, chaque mois, mois par mois. Encore une fois, bien sûr, ce sera imprécis. Plus on s’éloigne dans le temps, plus ça va être imprécis. La prédictibilité de cette imprécision est préférable à une inconnue totale qui est celle de se dire « je sais ce que j’ai sur mon compte et puis c’est tout ».

[Antoine Martin] Tu veux dire, option 1, on est complètement à l’aveugle et on ne sait pas, option 2, on tire des plans sur la. Comète, on fait un document, on a. Une idée, c’est probablement faux, ça ne se passera probablement jamais comme ça, mais. Au moins on a une idée.

[Philippe Bonnet] Exactement. Donc ça c’est le premier point, le deuxième point c’est les flux de trésor et le cash qu’on brûle. Si on sait que dans 6 mois ou 8 mois, parce qu’on vient de perdre Un client clé ou trois clients clés qui nous font moins 20% et qu’il va falloir continuer à payer l’approvisionnement sur telle matière quantité d’équipe, on va pouvoir anticiper ça et aller discuter.

[Antoine Martin] Est-ce que tu peux donner des exemples de ça ? Quand on parle de risques financiers dans les entreprises c’est un vrai sujet qu’on a vu à pas mal de reprises avec différents types de configurations. On a des gens qui ne vont pas anticiper le fait que dans un contrat ils vont devoir faire des avances de trésorerie. On a des gens qui ne vont pas anticiper le fait qu’effectivement un client va être particulièrement trop important et donc quand il y aura un problème il n’y aura plus de réserve d’oxygène. Tu as des exemples ?

[Philippe Bonnet] Donc il y a le premier c’est effectivement je perds un gros client, je n’ai pas conscience que mon gros client il représente 40% de mon chiffre et quand il va S’arrêter, c’est l’ensemble de la dynamique de l’entreprise qui va s’arrêter parce que je n’ai plus de quoi payer les équipes. Mais ça peut être aussi, dans l’autre sens, dans une activité de construction par exemple, l’entreprise faisait 11-12 millions chaque année. Ici, il y a un client qui fait 40 millions et il ne s’est pas rendu compte que l’appel d’air qui allait être généré par l’achat du matériel pour réaliser ce chantier à 40 millions était au-dessus du chiffre d’affaires qu’il avait sur la totalité de l’année. Donc en fait, il n’avait pas l’argent sur les comptes qui lui permettait de pouvoir lancer la machine. Si on rajoute à ça les délais de paiement du client, la fiabilité de ces délais de paiement, etc. En fait, ça a mis l’entreprise en très grave difficulté, c’est sûr.

Même si on génère des profits sur le papier à l’horizon de six mois ou huit mois, le banquier, à un moment, il va dire non, j’arrête de vous financer et je n’accepte pas que vous soyez plus que X à découvert. Donc là, il y a un vrai risque.

Il y a un dernier risque comme ça qui sont les risques sur, par exemple, le change. dans la mesure où on achète sur une monnaie et qu’on vend dans une autre monnaie, en US pour l’achat et en euro pour la vente. L’année dernière on a vu beaucoup de PME qui se retrouvaient à faire des résultats négatifs parce que la parité US-euro avait dérapé et n’avait pas été anticipée.

[Antoine Martin] Un exemple… on a vu il y a quelques temps, c’était un entrepreneur qui vendait des costumes à la grande distribution. Ses clients étaient aux États-Unis, sa production était en Chine. Les commandes étaient faites en janvier, mais les paiements n’étaient faits qu’à livraison. À savoir en novembre. Donc entre le moment où Janvier il recevait ses commandes, lui devait payer ses fournisseurs en février-mars, tout était produit en avril-mai, lui recevait tout à la fin de l’été, devait tout expédier, toujours assez frais, fin d’été, début de l’automne, et il était payé à réception en septembre. Ça veut dire qu’au moment où il avait reçu son argent en fin d’année, le taux du dollar US n’étant pas celui qui était prévu en début d’année, sa marge pouvait soit être un peu mieux s’il avait un coup de bol, soit totalement éradiqué si les taux de change avaient fait que le dollar s’était cassé la figure.

[Philippe Bonnet] Oui encore une. Fois il est possible par exemple de dire moi je vois bien comment ça devrait évoluer donc du coup j’achète du dollar maintenant mais si on fait ça l’entrepreneur ne fait pas son métier. Son métier ce n’est pas de faire un pari sur l’évolution du cours de l’euro USD ou du yuan RMB contre l’USD.

Le métier de l’entrepreneur c’est d’avoir un business model et de faire tourner ses fonds propres pour pouvoir générer une fois la marge, deux fois la marge, trois fois la marge. Il y a des solutions avec des agences dont c’est la spécialité de faire bloquer un montant qui va servir d’un compte et de pouvoir bloquer à un prix de parité ce qu’on souhaite et de payer une sorte d’assurance sur ce montant-là.

[Antoine Martin] Donc il y a des mécanismes pour mitiger les risques financiers dans les entreprises qui sont lies au change ?

[Philippe Bonnet] Oui, tout à fait. On peut enchaîner sur une autre typologie de risque, ceux liés à la capacité d’investissement. Ce deuxième point concernant la stratégie financière, c’est essentiellement la réflexion sur l’existence d’un business model qui est calé avec un business plan qui lui-même est calé de façon à mettre en place le projet. Ça veut dire qu’il va y avoir de la planification financière qui au soit en phase.

[Antoine Martin] On aura fait tel chiffre d’affaires avec des anticipations de résultats qui vont ressembler à. Ça et à ça. Mais ça peut aussi être un suivi de tréso dont on parlait tout à l’heure qui vise à dire, au-delà des attentes en termes de chiffre d’affaires et de résultats, concrètement, dans 6 mois, il faut payer les assurances, il faut payer l’URSSAF, il faut payer un certain nombre de choses qui font qu’au mois de décembre, on a un creux de trésor et si on n’a pas anticipé avec une ligne de crédit. On est à poil.

[Philippe Bonnet] Alors ça offre un lien avec le troisième risque financier dans les entreprises qui est sur la capacité d’anticiper et de décider parce que voilà autant on parle du business plan et de cette stratégie financière mais le manque d’anticipation c’est un risque à part entière. Si on reprend le premier sujet qui était le fait de réaliser qu’on allait avoir un appel d’air et qu’on a besoin d’une trésorerie mensuelle minimum de, et qu’on ne se rend pas compte au moment où ça arrive qu’en plus de tout, oui, il faut déposer le renouvellement des trademarks ou des copyrights, oui, il faut prévoir les impôts à payer, oui, il faut, etc.

Pourquoi est til important d’anticiper les risques financiers pour les entreprises ?

Ce manque d’anticipation peut créer un risque fatal alors que si on a anticipé, on peut très bien aller voir 4 mois, 5 mois, 6 mois en avance la banque négocier des lignes de crédit, on peut aller faire un emprunt, on peut se retourner vers des investisseurs voire à nouveau des banques pour pouvoir investir finalement sur ce qu’on a décidé de faire, quelles que soient les difficultés momentanées auxquelles on doit faire face.

Plus c’est risqué, plus les taux vont être importants, mais c’est quand même mieux de pouvoir l’anticiper et de se mettre en position d’attaquer ce moment difficile que de se dire, on verra comment ça va passer, parce que là, pour le coup, à 3 sur 4, ça ne passe pas du tout. Et donc là, c’est l’entreprise qui, dans sa totalité, est à risque.

Il y a un autre point qui n’est pas de l’anticipation, qui est un sujet de décision dans le sens où c’est cette visibilité sur le cours moyen terme qui va nous permettre de dire « oui je vais agir pour pouvoir prendre ce moment-là de la façon dont il doit être pris ». L’absence de décision est un risque à part entière. Parce qu’on ne va pas faire, parce qu’on ne va pas aller négocier avec la banque, et du coup, oui, on peut avoir anticipé, mais si on n’a pas décidé, ça crée à la fin un effet qui est quasi similaire.

[Antoine Martin] Oui, parce qu’au final, si on décide de ne pas décider, on peut se retrouver avec un problème qui va traîner, traîner, traîner, donc on va se retrouver avec un problème qui va être simplement aggravé sans solution.

Pourquoi décider est important ?

[Philippe Bonnet] Oui c’est absolument le cas et en général les gens n’arrivent pas à s’en vautre d’ailleurs. C’est rare que les gens aient anticipé et décident de ne pas décider.

[Antoine Martin] Quel est le test qu’on peut faire pour voir si d’un point de vue des risques financiers dans les entreprises, on est dans une zone de risque ou plutôt dans une zone de risque géré et acceptable ?

[Philippe Bonnet] La question est assez simple, c’est où en est votre société dans 24 mois et quel est le document sur lequel on peut discuter qui met en perspective l’état de votre trésorerie dans deux ans avec les évolutions mensuelles depuis ?

[Antoine Martin] Donc les évolutions en termes d’évolution de chiffre d’affaires, les évolutions en termes d’évolution de notre taille d’équipe, en termes de à quel moment est-ce qu’il faut avoir payé les taxes, à quel moment est-ce qu’on a eu les dividendes à payer ou pas, etc.

[Philippe Bonnet] Il y a le timing des commandes vis-à-vis des fournisseurs, ou des paiements des fournisseurs, etc. Oui, effectivement. Mais le résultat de cette situation dans 24 mois est la conséquence des 23 mois qui précèdent. Donc en fait, si on se dit où est-ce que vous en êtes dans 24 mois, c’est intéressant de voir quelle est l’image qu’on est capable de fournir sur ça.

Les risques financiers pour les entreprises en phase de démarrage

[Antoine Martin] Pour etre tangibles en matiere de risques financiers dans les entreprises… Quels sont les enjeux finalement pour des entrepreneurs qui vont être en phase de démarrage, disons jusqu’à une dizaine de personnes et quels vont être les enjeux pour des entrepreneurs qui vont être au-delà des dix personnes et qui eux vont passer dans une phase de scale finalement ?

[Philippe Bonnet] Donc sur la première catégorie, les deux points directs sur la trésorerie, c’est de connaître son break-even, c’est-à-dire mois par mois, en fonction des enjeux de dépenses que j’ai, de quel chiffre d’affaires j’ai besoin pour couvrir mes frais ? Toucher ce point qu’on appelle le break-even, c’est le vrai enjeu au départ.

D’un point de vue investissement, on peut rajouter un facteur, c’est le facteur qui va permettre de dire non seulement je touche le breakeven mais en plus de ça, tout ce que j’ai dépensé jusque là est revenu sur mon compte en banque et donc j’ai atteint mon niveau de retour sur investissement, le fameux ROI.

Donc, le troisième sur l’anticipation et la décision, ça va être de se poser la question si on a besoin de fonds et si oui de combien pour pouvoir mener la stratégie qu’on a décidé de mener à 24 ou 36 mois.

Les risques financiers pour les entreprises en phase de scale

Si on prend une taille d’entreprise supérieure, les enjeux sur la trésorerie, ça va plutôt être de maîtriser les risques et le budget. Donc oui, en début d’année, on a élaboré un budget de combien on devrait faire globalement de recettes et combien de dépenses on va avoir. Comment est-ce que ça se décline ? Et d’avoir ces arbitrages dans un document qui est maîtrisé, c’est un vrai point.

Sur l’investissement, c’est d’avoir une visibilité sur l’arbitrage de sa croissance. savoir si on veut tout financer en propre, si on veut passer par l’extérieur, si on va passer par un extérieur financier ou un extérieur économique. Est-ce qu’on va faire une franchise ? C’est un enjeu effectivement sur l’investissement dans ce modèle-là.

Le dernier, ça va être sa capacité à se rendre soi-même, en tant qu’entrepreneur, remplaçable dans l’entreprise parce que si je suis remplaçable dans mon entreprise, ça veut dire que mon entreprise a la pleine valeur de ce qu’elle peut avoir dans l’industrie dans laquelle elle est et à l’état de résultat où elle est aujourd’hui. Donc, on va retomber sur cette faculté de l’entrepreneur à tenir une place où il est lui-même remplaçable.

[Antoine Martin] Alors qu’à contrario, on va partir du principe qu’une entreprise de 15, 20, 35, 50, 70 personnes dans laquelle l’entrepreneur n’est pas remplaçable, c’est une entreprise qui sera difficile à revendre et que le jour où l’entrepreneur n’est soit plus en mesure de prendre des décisions, soit veut partir à la retraite et passer à autre chose, il ne sera pas en mesure de pouvoir transmettre cette entreprise à quelqu’un d’autre et donc d’en assurer la continuité.

[Philippe Bonnet] Absolument, ou générer du retard, ou générer de la moins-value, ou générer une inconnue. Les termes de la négociation vont être plus durs, au point que des fois ça peut remettre en cause carrément la capacité à signer les deals.

Conclusions sur les principaux risques financiers pour les entreprises

[Antoine Martin] Comment on conclut sur le sujet de la maîtrise des risques financiers pour les entreprises ?

[Philippe Bonnet] On peut conclure sur le côté « nerf de la guerre » que ça représente. Oui, on a besoin d’argent, mais oui, ça se met en perspective et ça se prévoit. L’inconvénient, c’est que c’est pas simple. L’avantage, c’est que ça peut se mettre en musique et que cette mise en musique est quelque chose qui est tout à fait envisageable et faisable. On peut le faire seul, on peut le faire avec des comptables, on peut le faire avec des tas de gens, y compris des gens qui sont des facilitateurs, mais c’est quelque chose qui est l’un des outils centraux du pilotage de l’entreprise, qu’on veuille gagner beaucoup d’argent, qu’on veuille vendre son entreprise, qu’on veuille la céder à la génération suivante, c’est un point de passage obligé.

[Antoine Martin] Et donc si on veut des astuces davantage et si on veut un coup de pouce pour arriver à réfléchir à ça, on prend rendez-vous et on prend contact avec les facilitateurs de Scale Impactified et puis on continue la discussion ?

[Philippe Bonnet] Bien sûr, avec nos partenaires ou avec nous-mêmes, la solution existe toujours, évidemment.

9. Où puis-je acquérir de nouvelles compétences sur le sujet abordé dans cet épisode ?

Pour approfondir votre compréhension du sujet traité dans cet épisode et découvrir des stratégies concrètes pour scaler votre entreprise, vous pouvez écouter d’autres épisodes du podcast MBA Accéléré. Nous y abordons des thèmes clés liés à la croissance d’entreprise, la gestion d’équipes, et la scalabilité !

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