Entrepreneurs, cadres, les dirigeants d’entreprise vivent généralement une vie bien remplie et partagent un quotidien souvent très similaire, entres impératifs décisionnels et moments de solitude difficiles à partager avec leur entourage, tant personnel que professionnel.
Contrairement aux idées reçues, leur rôle n’est pas juste de « faire tourner la boite ».
Il est de prendre les décisions qui s’imposent (et qui fâchent), tout en organisant, tout en prévoyant, et tout en motivant des équipes qui, faute de leadership sans failles, finissent par partir pour des jardins plus verts et prometteurs.
Ouille !
Au milieu de cet environnement souvent dur et abrupte, avoir recours au coaching d’affaires est de plus en plus courant, et de fait les coachs d’affaires tendent en pratique à devenir le meilleur bras droit des dirigeants.
Pourquoi ?
Parce qu’il (ou elle !) apporte à ceux qui ont besoin de décider et agir un cadre stable et une caisse de résonnance sécurisante dans lesquels les chefs et dirigeants d’entreprise peuvent évoluer, réfléchir, envisager, risquer (ou encore se plaindre !) sans prendre le risque d’être jugés, ni de déclencher une réaction en chaine aux effets désastreux.
Au quotidien, le coach d’affaires est un véritable bras droit, car il (elle !) travaille dans l’ombre de celles et ceux qui ont besoin de décider rapidement pour continuer à avancer.
Ils font bouger les lignes, une idée à la fois, et s’efforcent aussi de challenger les équipes pour s’assurer que l’entreprise reste en mouvement permanent.
Alors, le coach d’affaires est-il le meilleur bras droit des dirigeants ?
Nous vous donnons des pistes de réflexion faciles à mettre en œuvre sans attendre, particulièrement si votre objectif est de faire passer votre entreprise, vos équipes et votre vie professionnelle à leur niveau suivant.
Au sommaire :
- Pourquoi les dirigeants d’entreprise travaillent-ils si régulièrement seuls
- A quoi ressemblerait le bras droit du dirigeant idéal (on a posé la question, on vous dit tout)
- Comment le coach d’affaires apporte-t-il recul et perspective aux donneurs d’ordres
- Et comment choisir son coach d’affaires de manière efficace
Note au passage – si vous lisez cette page parce que vous êtes à la recherche d’un business coach, notez que ce post fait partie d’une série très complète liée au sujet. Bonne lecture !
Fait : les dirigeants ont besoin de prendre des décisions, mais ils sont généralement seuls.
Point de départ de notre discussion : l’élément qui réunit de nombreux entrepreneurs et dirigeants est la nécessité qui s’impose à eux de prendre des décisions importantes, en leur âme et conscience, tout en sachant qu’ils auront un impact (humain et économique) important, et qu’ils seront seuls responsables des conséquences de leurs choix.
La prise de décisions stratégique est un véritable challenge pour de nombreux dirigeants
Pour cette raison, la prise de décision stratégique est un véritable challenge pour de nombreux dirigeants.
Le problème pour certains sera de prendre une décision, quelle qu’elle soit, et tout le monde n’est pas confortable avec l’exercice (loin de là…).
Dans ce cas, l’enjeu sera d’obtenir toujours plus d’information afin de réduire le risque à prendre, et ce même si (pour ne pas dire « surtout si ») la prise de décision n’en est que repoussée à plus tard.
Pour d’autres, la complexité résidera plutôt dans le fait que l’équipe et les associés tendent à créer des points de blocage difficiles à surmonter.
L’enjeu sera alors de faciliter la communication, et de structurer l’entreprise toujours plus pour éviter que les uns n’empiètent sur le territoire des autres.
Pour d’autres encore, l’enjeu sera de décider, enfin et une bonne fois pour toutes, des décisions qui doivent être prises (maintenant), et des actions à mener (maintenant) pour faire avancer l’entreprise (maintenant !).
Au final, diriger est un exercice complexe, et en réalité de nombreux cadres dirigeants se retrouvent face à un plafond de verre infranchissable faute de pouvoir jouer leur rôle de manière sereine et efficace : les chantiers à gérer sont donc nombreux et la présence d’un bras droit peut vite devenir essentielle.
Définir les priorités est tout aussi difficile, car on sait rarement par où commencer
De notre point de vue de coachs d’affaires, la prise de décision est aussi rendue difficile par le fait que peu de décideurs définissent des objectifs clairs pour leur entreprise et leurs équipes.
L’entreprise va de l’avant – ou pense le faire – mais en pratique elle manque souvent d’une « success story » précise. De fait, diriger revient alors à monter dans un train en n’ayant aucune idée de sa destination finale.
Que faire, donc ?
En termes d’organisation, deux modèles s’offrent aux entreprises et tendent à se compléter, mais la réalité du terrain ne laisse souvent que peu de chances aux petites et moyennes entreprises (tpe pme).
L’approche ‘top-down’ (la direction décide et fait exécuter) ne fonctionnera que si les dirigeants ont suffisamment de bande passante pour traiter les objectifs comme un sujet prioritaire et pour faire le nécessaire pour mettre en place des objectifs clairs.
Dans les faits, ce n’est malheureusement que rarement le cas et beaucoup de dirigeants se tournent, faute d’outils et d’inspiration, vers leur coach d’affaires pour mettre en place le cadre nécessaire.
Alternativement, l’approche inverse dite du ‘bottom up’ sera préférable, du moins dans un premier temps.
Les équipes pourront décider elles-mêmes d’objectifs qui font sens pour elles et les feront remonter à la direction) fera donc davantage de sens. Encore faudrait-il que la direction soit en mesure de guider les équipes dans leurs propres réflexions stratégiques – ce qui arrive encore moins souvent puisqu’il y a là aussi un problème de temps partagé entre opérationnel et … opérationnel.
L’équipe n’est pas toujours un soutien pour le dirigeant
De fait, si les équipes sont un actif car elles constituent une force productive pour l’entreprise du point de vue des ressources humaines, elles sont aussi bien souvent une source de tracas pour les entrepreneurs et dirigeants qui doivent les inspirer et les structurer sans relâche.
En fin de compte, le patron est souvent un chef d’orchestre : on se repose sur lui, pas l’inverse, tandis que le moindre faux mouvement de sa part a le pouvoir de dérégler la machine de manière irrattrapable.
Face à ce genre de situation, de nombreux entrepreneurs et cadres exécutifs se tournent vers un coach d’affaires avec pour objectif principal de ne plus être seul dans leur quotidien, et de percer un plafond de verre devenu trop lourd à porter – à défaut de pouvoir passer au travers.
Une question reste cependant de mise pour beaucoup : à quoi le bras droit d’un dirigeant doit il ressembler si l’on veut en tirer le maximum ?
Idéalement, le bras droit des dirigeants ressemblerait à … (Définition).
De notre point de vue (de coachs d’affaires, encore une fois), les entrepreneurs et dirigeants envisagent deux types de bras droit : celui qui fait à votre place sans poser de question, et celui qui se concentre sur le fait de vous faire avancer en vous provoquant et en vous faisant réfléchir différemment.
Les deux modèles semblent diamétralement opposés ? C’est parce qu’ils le sont !
Le premier modèle vise à vous trouver un assistant en charge de l’implémentation. Le second modèle vise à vous faire réfléchir à comment structurer et innover pour implémenter plus efficacement, sur le court, moyen et long-terme. Vous voyez la différence ?
Un bras droit qui fait à votre place ? Pas nécessairement.
Premier angle d’approche : le parfait bras droit des dirigeants pourrait-être un « faisant », qui agirait pour mettre en place à votre place. Le rôle serait alors celui d’un assistant ou celui d’un COO (Chief Operating Officer) selon la taille de votre organisation et le budget que vous pourriez allouer à ce genre de poste.
Dans ce cas, la valeur ajoutée de votre bras droit résiderait donc dans le fait d’agir et de mettre en place ce que vous avez pu imaginer.
En revanche, si vous imaginez mal, que vous n’avez pas conscience des éléments cachés dans vos angles-morts, ou que vous refusez tout simplement de voir certaines réalités en face (problème plus que courant), alors la phase d’implémentation (même optimale) vous enverra dans un mur et votre entreprise paiera le prix fort de vos décisions.
De fait, la majorité des entrepreneurs et décideurs qui font appel à un coach d’affaires ont déjà une équipe en charge d’implémenter, et recherchent un moyen de se libérer d’avantage des contraintes avec lesquelles ils jonglent – ce qui nous mene à l’idée suivante.
Un bras droit pour réfléchir et décider de manière plus sereine ? Oui !
Cela nous amène naturellement à notre second modèle de pensée, dans lequel le parfait bras droit des dirigeants jouera un rôle de mentor, de conseiller, d’agitateur d’idées, et de facilitateur d’innovation.
Dans ce cadre, l’enjeu n’est pas juste pratique, il devient totalement stratégique.
La discussion ne porte plus sur du « fais ci, fais ça », mais sur du « faut-il faire ceci, ou faire cela pour se rapprocher de l’objectif » – qui d’ailleurs aura été défini en amont avec les méthodes et outils de planification du coach.
Le sujet n’est plus non-plus l’implémentation en tant que telle, mais « comment implémenter » de manière efficace et optimale.
Dans l’ensemble, l’enjeux n’est plus d’appuyer brutalement sur l’accélérateur mais de prendre un moment pour écouter le moteur et décider d’engager la seconde.
Un bras droit qui challenge et provoque ? Encore oui !
Pour ce faire, le coach d’affaires se placera en challenger des dirigeants avec lesquels il travaille.
Conscient des enjeux mais aussi des limites, il (elle !) s’appliquera à poser les bonnes questions. Non pas pour créer toujours plus d’interrogations comme le font beaucoup de coach (on y revient plus bas) mais pour pousser à réagir et à agir.
L’exercice ne fonctionnera pas pour tout le monde, car tout le monde n’est au final pas coachable. Certains n’accepteront pas les avis contraires et ne supporteront pas la critique, ou voudront simplement gérer par eux-mêmes.
Pour les autres, en revanche, une dose de provocation bienveillante et régulière s’avère souvent être un activateur de synergies pouvant générer des augmentations de chiffre d’affaires de l’ordre de 80% simplement parce que l’entreprise acquiert une direction commerciale et une stratégie de développement (chiffres Impactified).
Lire aussi : 5 Manières d’Utiliser un Business Coach (et Booster votre CA de 80%!)
Un bras droit qui pousse aussi vos équipes vers leur niveau supérieur ? Toujours oui !
Dans les cas d’étude les plus concluants, cela étant dit, le rôle du coach d’affaires en tant que bras droit de dirigeant est aussi de créer une connexion avec les équipes qui jusqu’alors n’existait pas vraiment.
« On ne discute pas de malaria avec le moustique », nous disent certains managers pour qui parler des problèmes crées par la direction avec la direction devient parfois ubuesque.
Lorsque l’on veut faire passer une entreprise ou une équipe à son niveau supérieur, on peut, en revanche, mettre le coaching à disposition des équipes.
Le coach d’affaires joue alors un véritable rôle de mentor, qui se mettra à disposition de ceux – direction générale comme collaborateurs – qui veulent discuter d’un problème, trouver un moyen de résoudre une tension difficile à comprendre, mettre en place une stratégie en l’absence de guidance venue de la direction, ou encore développer leur leadership au sein de l’équipe.
Le coach d’affaires apporte recul et perspective
Que le destinataire des sessions de coaching et de mentoring soit le dirigeant ou ses équipes, la réalité est donc que le rôle du coach d’affaires n’est pas simplement de poser des questions. Il est de pousser son client à prendre du recul et à mettre une dose de perspective dans sa réflexion.
Le coach d’affaires offre une caisse de résonnance inégalée.
Que les sessions se déroulent avec l’entrepreneur en charge, avec le président fondateur ou avec un manager en charge de créer un nouveau produit, service ou département dans l’entreprise, l’enjeu est le même : le coaching de dirigeant consiste à fournir une caisse de résonnance qui permet à notre interlocuteur d’avancer sur ses sujets, de manière palpable et actionnable.
Certains apprennent à devenir de meilleurs leaders.
Certains réfléchissent à de nouveaux process destinés à automatiser et faire tourner l’entreprise plus facilement.
Certains utilisent le coach d’affaires et les sessions de mentoring pour redéfinir leur positionnement et revisiter leurs stratégies commerciales, via des outils dédiés ou des ateliers de design thinking provoquants et créateurs d’innovation (sans oublier le team-building, bien sûr).
D’autres décident de faire passer leur entreprise à la moulinette, dans le cadre d’un SWOT d’entreprise révélateur d’opportunités business, ou dans le cadre d’un atelier Ocean Bleu destiné à se démarquer d’une concurrence trop écrasante.
Le coach d’affaires pousse le dirigeant à travailler beaucoup plus « sur » son business.
Dans les différents cas que nous venons juste de citer, le point principal est le suivant : le coach d’affaires pousse les dirigeants et leurs équipes à travailler beaucoup plus « sur » le business, là où ils concentrent typiquement leur attention à travailler « dans » le business et « dans » des routines sans fin.
Cet angle d’approche n’est pas seulement différent, il est aussi absolument fondamental si, une fois de plus, votre ambition est de faire passer votre entreprise a son niveau supérieur.
Coach d’affaire, business coach, business mentor : quelles différences et quelles attentes avoir ?
Un terme revient régulièrement depuis le début de cet article et mérite clarification : qu’est-ce que le mentoring, et en quoi le concept diffère-t-il du coaching ?
De notre point de vue, les deux concepts se détachent radicalement même s’ils sont souvent utilisés de manière totalement interchangeable.
D’une part, le coaching consiste à utiliser des questions ciblées pour faire réfléchir le client de manière plus large et plus ouverte et lui faire réaliser que d’autres possibilités existent.
Dans les faits, cette définition d’école peut être véritablement problématique car de nombreux coachs se contentent de poser des questions en comptant sur le client pour y répondre – ce qui n’arrive que peu souvent et laisse le coachee (le client) avec plus de questions que de réponses.
L’alternative consiste donc à ajouter au questionnement une notion de résultat. Poser des questions, c’est bien. Mais quand on recherche un coach d’affaires, la clé est d’obtenir des résultats tangibles.
C’est là que le mentoring d’affaires entre en jeu.
La durée de la collaboration compte aussi.
La durée de la relation est aussi un élément important qui doit être pris en compte, car plusieurs écoles de pensée existent et cohabitent (parfois mal).
D’une part, la théorie d’école de coaching veut qu’une relation de coaching soit limitée dans le temps. Le but est de traiter un sujet bien précis, mais il faut lui rendre sa liberté rapidement pour qu’il continue sa vie, comme avant.
Problème – les dirigeants qui font appel a un coach d’affaires ne se satisfont que rarement du temporaire, car pour eux l’accompagnement devient rapidement une collaboration forte qu’ils veulent stable et durable. L’interrompre pour des raisons de théorie du coaching crée donc généralement une frustration.
Le mentoring devient alors la méthode d’accompagnement à privilégier, car elle permet au mentor de soutenir son client en allant au-delà des questions, et en offrant un cadre propice à l’action.
Quels objectifs ? A quelle échéance ? Pour quels résultats ? Avec quelles méthodes ? Quels partenaires ? Quelles hypothèses et alternatives ? Quelles possibilités de mesurer les résultats ?
Lorsque ces thèmes sont abordés, le coach d’affaires devenu business mentor devient un tremplin double d’un partenaire – le meilleur bras droit des dirigeants, en somme !
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Dans les faits et pour cette même raison, nos propres cartes de visite contiennent usuellement les termes de business coach ou de coach d’affaires même si nous agissons au quotidien comme mentors auprès de nos clients et de leurs équipes.
La différence est significative, mettez-la à profit !
Comment choisir son bras droit de manière efficace ?
Dernier point important : comment un dirigeant peut-il choisir son coach et mentor de manière efficace ? Voici trois suggestions.
Définir ce que l’on attend d’un coach d’affaires
D’abord, réfléchissez à vos attentes et clarifiez ce que vous souhaitez obtenir de votre coach d’affaires, puis faites votre choix en conséquence.
- Cherchez-vous un coach d’affaires dont le but est de vous faire réfléchir avec des questionnements généraux ?
- Ou bien voulez-vous travailler avec quelqu’un qui aura pour but de provoquer de nouvelles idées et de vous faire prendre des décisions avec lesquelles vous serez confortables ?
- Cherchez-vous une réflexion théorique, ou un process de travail pour piloter l’entreprise, et qui mène à des résultats concrets ?
- Cherchez-vous une collaboration de court terme, ou une relation de confiance durable qui vous fournira une caisse de résonnance sur laquelle vous pourrez compter de nombreuses années ?
Avoir des réponses à ces questions est essentiel !
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Se sentir en confiance avec son coach d’affaires
Ensuite, assurez-vous de vous sentir en confiance avec votre coach d’affaires.
L’enjeux de l’exercice est clair : avoir un environnement dans lequel vous pourrez réfléchir, voir et revoir vos plans tout en étant régulièrement provoqué et poussé.
Par conséquent, vous sentir à l’aise est plus qu’essentiel. Si vous n’êtes pas confortable avec l’idée d’être challengé par votre interlocuteur, il est temps de revoir votre copie !
Heures et questions vs Création de valeur : comment votre coach d’affaires réfléchit-il ?
Enfin, assurez-vous que votre coach d’affaires est cohérent avec lui-même et suit une approche ‘business’ qui fait sens.
L’un des points centraux du coaching d’affaires et de pousser entrepreneurs et dirigeants à réfléchir en termes de valeur créée, plutôt qu’en termes d’heures et de temps passe.
De fait, si votre coach a lui-même un business model basé sur une facturation à l’heure, alors son discours est bancal et doit vous mettre la puce à l’oreille !
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Conclusion : le coach d’affaires est le meilleur bras de droit du dirigeant d’entreprise car …
Pour conclure ? Au-delà des missions temporaires qui lui sont généralement offertes, le coach d’affaires est donc de plus en plus accepté comme étant le meilleur bras droit des dirigeants d’entreprise, et ce pour un certain nombre de raisons.
Le concept de la caisse de résonnance de l’entrepreneur et du décideur fait souvent écho, bien entendu. La possibilité d’avoir à ses côtés un esprit critique coutumier des challenges de la gestion de l’entreprise et des équipes est aussi un élément essentiel.
Le coaching est l’un des services aux entrepreneurs et dirigeants les plus adaptés et les plus prometteurs en France.
Si ces réalités vous semblent pertinentes, alors il est probablement temps de passer à l’action : pour en savoir plus, prenez contact avec un coach d’affaires du réseau Impactified sans attendre !
